Par Dr Al-Hamndou Dorsouma⃰⃰⃰⃰

À quelques jours de la COP 29 à Baku en Azerbaïdjan, les dégâts récemment causés par les ouragans Milton et Helene en Floride, aux États-Unis, les inondations dans les pays du Sahel et récemment en Espagne, ainsi que les sécheresses en cours en Afrique australe rappellent à la communauté internationale l’urgence d’agir pour sauvegarder les acquis de développement obtenus à ce jour. Ces événements climatiques extrêmes causent d’énormes pertes et dommages sur les économies, en particulier sur les infrastructures des pays.

À ce jour, l’Afrique demeure le continent le plus vulnérable face aux impacts négatifs des changements climatiques, notamment en raison de son faible niveau de développement, de ses capacités limitées d’adaptation, et du manque d’anticipation et de réponse aux chocs climatiques, débouchant sur d’énormes conséquences sur les infrastructures lorsque les désastres climatiques surviennent.

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